Émissions de CO2 du mix électrique en hausse de 13% | CO2-uitstoot van de elektriciteitsmix omhoog met 13%
Nederlands hieronder
Bonjour, nous sommes le 21 août et voici ce que vous devez savoir concernant les dossiers politiques belges importants. Belgium Matters, votre fil d’Ariane hebdomadaire dans le labyrinthe fédéral Belge. Suivez l’actualité sur la Belgique dans ses frontières et dans le monde !
Hallo, het is 21 Augustus en dit is wat u moet weten over belangrijke Belgische politieke kwesties. Belgium Matters, uw wekelijkse broodkruimelspoor door het Belgische federale doolhof. Volg het nieuws over België binnen zijn grenzen en in de wereld!
REVENEZ SUR…
CLIMAT
La production électrique belge a émis plus de CO2 au cours du dernier semestre Avec l'arrêt des réacteurs Doel 3 et Tihange 2, la Belgique a perdu 2 gigawatts provenant de sources peu émettrices de CO2, rapporte L’Écho. Au cours du dernier semestre, la production électrique belge a engendré 13% de CO2 en plus par rapport à la même période l'année précédente, en raison de la fermeture de ces réacteurs, d'après les calculs de Sam Hamels, chercheur en économie de l'énergie à l'université de Gand. La fermeture de Doel 3 en septembre dernier et de Tihange 2 en février a privé le parc électrique belge de 2 gigawatts, des sources relativement peu émettrices de CO2. Les émissions de CO2 pour les six premiers mois de l'année sont passées de 148 à 168 grammes par kilowatt-heure (KWh), avec une estimation prudente de 500 grammes par KWh pour les centrales au gaz.Les émissions énergétiques des pays voisins s'élevaient à 349 grammes par KWh aux Pays-Bas, 486 grammes en Allemagne et 72 grammes en France. Les Pays-Bas et l'Allemagne utilisent encore des centrales au charbon. Les variations des émissions en Belgique sont significatives mois par mois. En février 2023, les émissions de CO2 étaient 57% supérieures à la même période de l'année précédente, tandis qu'en juillet, elles étaient 33% inférieures à juillet 2022, largement influencées par la production d'énergies renouvelables. L'année précédente a été ensoleillée, tandis que cette année a été plus venteuse, en particulier en juillet. Cependant, en 2022 également, les centrales nucléaires ont été davantage sollicitées.
© shutterstock, Belgium Matters
ENERGIE
L'énergie est moins chère en Belgique que chez ses voisins Selon les données de la Creg, le régulateur de l'énergie, les prix de l'électricité et du gaz naturel sont généralement plus bas en Belgique que chez ses voisins, sauf pour l'électricité en France, selon L’Écho. En août, la facture annuelle moyenne d'électricité pour les ménages belges était de 1 170 euros, moins élevée qu'en Allemagne, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. Seule la facture française (970 euros) était plus basse, en raison de la régulation du prix de l'électricité dans le pays. En ce qui concerne le gaz naturel, la facture annuelle moyenne pour les ménages belges s'élevait à 1 284 euros, moins chère qu'à l'étranger. La principale raison pour laquelle les ménages belges paient moins pour leur énergie que leurs voisins est que les prix sont indexés sur les tarifs du marché de gros et baissent donc plus rapidement, explique la Creg.
La consommation de gaz est toujours en très net recul La demande de gaz en Belgique a diminué de 19% au deuxième trimestre, suivant la tendance européenne, selon L’Écho. Cette baisse est due en grande partie aux prix élevés sur les 18 derniers mois, incitant à des alternatives comme les pompes à chaleur. La demande industrielle a reculé de 18% en juillet, et celle des ménages de 14%. Malgré ces baisses, les importations de gaz naturel liquéfié restent élevées, remplissant les installations de stockage. Ben McWilliams, expert en politique énergétique, se montre optimiste pour l'hiver, mais anticipe des prix élevés, impactant ménages et entreprises.
...MAIS ÉGALEMENT
Les craintes de désindustrialisation s'accentuent avec une nouvelle baisse de la production en Belgique En juin, la production industrielle en Belgique a baissé de 3,0 % par rapport à mai, marquant le troisième mois consécutif de déclin, selon The Brussels Times. Cette baisse est la quatrième plus importante de l'UE, après Malte (3,3 %), la Finlande (3,3 %) et la Suède (5,3 %). Par contraste, la production moyenne mensuelle a légèrement augmenté dans la zone euro et l'UE (0,5 % et 0,4 % respectivement). Sur une base annuelle, la baisse en Belgique est plus prononcée, avec une chute de 7,6 % par rapport à juin 2022. Cela se classe comme la troisième plus grande baisse annuelle dans l'UE, après la Bulgarie (9,3 %) et l'Estonie (12,7 %). Cette tendance est en ligne avec les avertissements émis par les analystes et les dirigeants d'entreprise, qui mettent en avant les coûts énergétiques élevés et la législation protectionniste aux États-Unis. Ces facteurs risquent non seulement d'affecter la Belgique, mais aussi de porter préjudice à la base industrielle de l'Europe. Des experts ont alerté sur le risque que des entreprises européennes se relocalisent aux États-Unis ou en Asie pour profiter de coûts énergétiques plus bas, mettant en péril l'industrie européenne.
En Belgique, le trafic de drogue est un problème encore plus grave que le terrorisme Le trafic de cocaïne en Belgique constitue un défi majeur, surpassant même le terrorisme selon le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne, rapporte le Financial Times. Il appelle l'UE à intensifier la coopération internationale pour capturer les barons de la drogue cachés à l'étranger. Anvers, principal port belge, est le plus grand hub de trafic de cocaïne en Europe. Les saisies de cocaïne ont augmenté de 21 % au premier semestre 2023. Les autorités belges ont pris des mesures pour lutter contre le trafic, mais Van Quickenborne admet que le commerce illicite est difficile à éradiquer complètement.
Filtrer les investissements étrangers n’est pas gagné Deux chercheurs académiques flamands, Jeroen Delvoie et Claire Fornoville, identifient trois problèmes potentiels dans le nouveau système de contrôle des investissements étrangers en Belgique, selon L’Écho. Les investissements étrangers seront scrutés de près, mais cela pourrait être complexe. Depuis le 1er juillet 2023, les entreprises belges recevant des investisseurs non-européens devront obtenir l'approbation pour des opérations octroyant 25% des droits de vote à une entité extérieure à l'UE, avec un seuil de 10% pour les secteurs sensibles comme la Défense ou l'énergie. Ces chercheurs soulèvent trois problèmes. Premièrement, le champ d'application est large et inclut les intérêts stratégiques des différentes entités du pays, pouvant engendrer des notifications abondantes pour assurer la sécurité juridique. Deuxièmement, les délais stricts risquent d'être ignorés en pratique, comme l'expérience de l'Autorité belge de la concurrence le suggère. Troisièmement, des procédures multiples pourraient être enclenchées à divers niveaux de pouvoir, nuisant à la sécurité juridique. Le Comité de filtrage interfédéral (CFI), chargé de ces contrôles, prévoit un mécanisme dynamique et adaptable face à la complexité. Les chercheurs soulignent que la manière dont le CFI coordonnera ses actions et la marge de manœuvre accordée par les gouvernements seront cruciales pour le succès du processus.
La dette de l'État fédéral diminue de 5 milliards À la fin de juillet 2023, la dette de l'État fédéral atteignait 489,273 milliards d'euros, ayant diminué de 5,18 milliards d'euros au cours du mois, selon un communiqué de l’Agence fédérale de la dette. Après déduction des placements et des titres en portefeuille, la dette nette de l'État fédéral s'est réduite de 3,46 milliards d'euros pour atteindre 474,58 milliards d'euros. Le solde net à financer en juillet était de -3,46 milliards d'euros. La durée moyenne de la dette de l'État fédéral a augmenté de 0,18 an pour atteindre 10,74 ans en juillet 2023, tandis que le taux d'intérêt moyen sur les instruments de la dette a augmenté de 0,02 % à 1,73 %. Les risques de refinancement à 12 et 60 mois étaient respectivement de 12,64 % et 39,80 %.
NOS LECTURES HEBDOMADAIRES
Dans un entretien accordé à L’Écho, le député PS Malik Ben Achour exprime que la réforme de l'État n'est pas une priorité, mais le PS n'est pas opposé à davantage d'autonomie régionale. Il parle de la coalition Vivaldi et de ses réalisations, dont l'augmentation de la pension et du salaire minimum. Il critique le MR pour avoir refusé d'augmenter la taxe sur les comptes-titres des plus riches. Il aborde les relations avec l'Iran et souligne la complexité du Moyen-Orient. Il parle également de la question militaire, des investissements nécessaires pour la défense et la réindustrialisation. Il commente les armes à sous-munitions et conclut en disant que la réforme de l'État n'est pas une priorité, mais il est ouvert à l'amélioration de l'efficacité de l'État.
TERUG NAAR...
KLIMAAT
Belgische elektriciteitsproductie stootte de afgelopen zes maanden meer CO2 uit Met de sluiting van de reactoren Doel 3 en Tihange 2 heeft België 2 gigawatt verloren uit bronnen met een lage CO2-uitstoot, meldt L'Écho. In de afgelopen zes maanden genereerde de Belgische elektriciteitsproductie 13% meer CO2 dan in dezelfde periode een jaar eerder, door de sluiting van deze reactoren, volgens berekeningen van Sam Hamels, onderzoeker energie-economie aan de Universiteit Gent. Door de sluiting van Doel 3 in september vorig jaar en Tihange 2 in februari verloor de Belgische elektriciteitsbevoorrading 2 gigawatt, bronnen die relatief weinig CO2 uitstoten. De CO2-uitstoot voor de eerste zes maanden van het jaar steeg van 148 naar 168 gram per kilowattuur (KWh), met een voorzichtige schatting van 500 gram per KWh voor gasgestookte elektriciteitscentrales. De energie-uitstoot in de buurlanden bedroeg 349 gram per KWh in Nederland, 486 gram in Duitsland en 72 gram in Frankrijk. Nederland en Duitsland gebruiken nog steeds kolencentrales. De verschillen in uitstoot in België zijn aanzienlijk van maand tot maand. In februari 2023 was de CO2-uitstoot 57% hoger dan in dezelfde periode een jaar eerder, terwijl deze in juli 33% lager was dan in juli 2022, grotendeels dankzij de productie van hernieuwbare energie. Vorig jaar was het zonnig, terwijl het dit jaar winderiger was, vooral in juli. Kerncentrales werden echter ook meer gebruikt in 2022.
ENERGIE
Energie is goedkoper in België dan in de buurlanden Volgens gegevens van Creg, de energieregulator, zijn de elektriciteits- en aardgasprijzen in België over het algemeen lager dan in de buurlanden, behalve voor elektriciteit in Frankrijk, aldus L'Écho. In augustus bedroeg de gemiddelde jaarlijkse elektriciteitsfactuur voor Belgische huishoudens 1.170 euro, wat lager is dan in Duitsland, Nederland en het Verenigd Koninkrijk. Alleen de Franse factuur (970 euro) was lager, als gevolg van de regulering van de elektriciteitsprijzen in dat land. Voor aardgas was de gemiddelde jaarlijkse factuur voor Belgische huishoudens 1.284 euro, goedkoper dan in het buitenland. De belangrijkste reden waarom Belgische huishoudens minder betalen voor hun energie dan hun buren, is dat de prijzen worden geïndexeerd aan de grootmarkttarieven en dus sneller dalen, legt Creg uit.
Gasverbruik daalt nog steeds sterk De vraag naar gas in België daalde in het tweede kwartaal met 19%, in lijn met de Europese trend, volgens L'Echo. Deze daling was grotendeels te wijten aan de hoge prijzen van de afgelopen 18 maanden, waardoor het gebruik van alternatieven zoals warmtepompen werd aangemoedigd. De industriële vraag daalde in juli met 18% en de vraag van huishoudens met 14%. Ondanks deze dalingen blijft de import van vloeibaar aardgas hoog, waardoor de opslagfaciliteiten gevuld worden. Ben McWilliams, een expert op het gebied van energiebeleid, is optimistisch over de winter, maar verwacht dat de prijzen hoog zullen blijven, met gevolgen voor zowel huishoudens als bedrijven.
...MAAR OOK
Angst voor deïndustrialisatie neemt toe met een nieuwe productiedaling in België In juni daalde de industriële productie in België met 3,0% ten opzichte van mei, wat de derde opeenvolgende maand van daling betekent, volgens The Brussels Times. Dit was de op drie na grootste daling in de EU, na Malta (3,3%), Finland (3,3%) en Zweden (5,3%). Daarentegen steeg de gemiddelde maandproductie licht in de eurozone en de EU (respectievelijk 0,5% en 0,4%). Op jaarbasis is de daling in België meer uitgesproken, met een daling van 7,6% ten opzichte van juni 2022. Dit is de op twee na grootste daling op jaarbasis in de EU, na Bulgarije (9,3%) en Estland (12,7%). Deze trend is in lijn met de waarschuwingen van analisten en bedrijfsleiders, die wijzen op de hoge energiekosten en de protectionistische wetgeving in de Verenigde Staten. Deze factoren dreigen niet alleen België te treffen, maar ook de industriële basis van Europa te beschadigen. Experts hebben gewaarschuwd voor het risico dat Europese bedrijven verhuizen naar de Verenigde Staten of Azië om te profiteren van de lagere energiekosten, waardoor de Europese industrie in gevaar komt.
In België is drugshandel een nog groter probleem dan terrorisme De drugshandel in België is een grote uitdaging, die het terrorisme zelfs overtreft, volgens minister van Justitie Vincent Van Quickenborne, meldt de Financial Times. Hij roept de EU op om de internationale samenwerking op te voeren om drugsbaronnen te pakken die zich in het buitenland schuilhouden. Antwerpen, de belangrijkste haven van België, is het grootste cocaïnehandelcentrum van Europa. De inbeslagnames van cocaïne stegen in de eerste helft van 2023 met 21%. De Belgische autoriteiten hebben stappen ondernomen om de handel tegen te gaan, maar Van Quickenborne geeft toe dat de illegale handel moeilijk volledig uit te roeien is.
Buitenlandse investeringen filteren is geen gemakkelijke taak Twee Vlaamse academische onderzoekers, Jeroen Delvoie en Claire Fornoville, hebben volgens L'Echo drie potentiële problemen geïdentificeerd met het nieuwe systeem om buitenlandse investeringen in België te controleren. Buitenlandse investeringen zullen nauwlettend in de gaten worden gehouden, maar het zou complex kunnen zijn. Vanaf 1 juli 2023 moeten Belgische bedrijven die investeerders van buiten de EU ontvangen goedkeuring krijgen voor transacties waarbij 25% van de stemrechten aan een entiteit van buiten de EU wordt gegeven, met een drempel van 10% voor gevoelige sectoren zoals defensie of energie. Deze onderzoekers werpen drie problemen op. Ten eerste is het toepassingsgebied breed en omvat het de strategische belangen van de verschillende entiteiten van het land, wat zou kunnen leiden tot een groot aantal kennisgevingen om de rechtszekerheid te waarborgen. Ten tweede bestaat het risico dat strikte termijnen in de praktijk worden genegeerd, zoals de ervaring van de Belgische mededingingsautoriteit suggereert. Ten derde zouden meerdere procedures op verschillende gezagsniveaus kunnen worden ingeleid, wat de rechtszekerheid zou ondermijnen. Het Comité de filtrage interfédéral (CFI), dat verantwoordelijk is voor deze controles, biedt een dynamisch mechanisme dat kan worden aangepast aan de complexiteit. Onderzoekers benadrukken dat de manier waarop de IFC haar acties coördineert en de speelruimte die overheden krijgen cruciaal zullen zijn voor het succes van het proces.
Schuld federale overheid daalt met €5 miljard Eind juli 2023 bedroeg de schuld van de federale overheid €489,273 miljard, een daling van €5,18 miljard in de loop van de maand, volgens een persbericht van het Federaal Agentschap van de Schuld. Na aftrek van investeringen en effecten daalde de nettoschuld van de federale overheid met €3,46 miljard tot €474,58 miljard. Het netto te financieren saldo bedroeg in juli -3,46 miljard euro. De gemiddelde looptijd van de federale staatsschuld steeg met 0,18 jaar tot 10,74 jaar in juli 2023, terwijl de gemiddelde rentevoet van de schuldinstrumenten met 0,02% steeg tot 1,73%. Het herfinancieringsrisico op 12 en 60 maanden bedroeg respectievelijk 12,64% en 39,80%.
ONZE WEKELIJKSE LECTUUR
In een interview met L'Écho zegt PS-parlementslid Malik Ben Achour dat staatshervorming geen prioriteit is, maar de PS is niet tegen meer regionale autonomie. Hij heeft het over de Vivaldi-coalitie en haar resultaten, waaronder verhogingen van de pensioenen en het minimumloon. Hij bekritiseert de MR voor zijn weigering om de belasting op de effectenrekeningen van de rijkste mensen te verhogen. Hij bespreekt de betrekkingen met Iran en benadrukt de complexiteit van het Midden-Oosten. Hij heeft het ook over de militaire kwestie, de investeringen die nodig zijn voor defensie en herindustrialisatie. Hij geeft commentaar op clustermunitie en sluit af met te zeggen dat staatshervorming geen prioriteit is, maar hij staat open voor het verbeteren van de efficiëntie van de staat.
Deze nieuwsbrief kwam tot stand met bijdragen van Gabriel Papeians de Morchoven.
Ce bulletin fut rédigé grâce aux contributions de Gabriel Papeians de Morchoven.